joel16 Administrateur
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| Sujet: Gabon/ Faits- insolite : Quatre ans près sa mort il réapparait chez sa famille… Ven 14 Oct - 20:54 | |
| De generation-nouvelle.org
Un revenant serait réapparu au milieu de sa famille dans la ville de Franceville au sud ouest du Gabon, ‘’Gilbert Serigui’’ mort dans un accident à Libreville il ya quatre ans et enterré dans la ville ou il à réapparu.
Selon le B2 (Service de renseignement judiciaire). « Un monsieur qui est décédé depuis quatre ans et qui est revenu à la vie nous sollicitons l’autorisation du parquet pour aller perquisitionner le domicile de cet individu, ou du moins de ses parents. On a dit que ce n’était possible, puisqu’il n’y a pas infraction) la loi pénale. Nous avions même cru que c’est quelqu’un qui avait simulé la mort et que les parents seraient partis récupérer ses dus. Si c’est le cas, cela pourraient être assimilé à une escroquerie. Le service auprès duquel il travaillait (La Garde républicaine, selon la version officielle : Ndlr) pourrait donc déposer plainte à notre parquet et récupérer un soit-transmis sur la base duquel il pouvait donc procéder à la perquisition du domicile de ses parents.
Après cette information, j’ai reçu un appel du procureur général me disant qu’il y avait des faits nouveaux à la Mosquée. Amon arrivée, il s »agissait effectivement de cette situation. Sur place, nous avons entendu l’intéressé. Il nous a laissé entendre qu’il travaille à Matsatsa pour la route économique. Je lui ai demandé de me passer le contact d’un de ses responsables. Je l’ai appelé, puis je lui ai passé le téléphone. Ils ont échangé un moment avant que je n’aie à mon tour un échange avec lui, puis il a raccroché. Ce qui semble vrais, c’est qu’il travaille à Matsatsa avec les Chinois.
Maintenant, quand vous l’interrogez sur sa mort, il reste évasif. Quand sa mère est apparut, ils se sont embrassés et elle a pris place à ses cotés. Vraisemblablement, c’est quelqu’un qui reconnait bien sa mère. Il connait son nom. A un certain moment, on s’est dit qu’il y a peut-être eu erreur sur la personne. On a demandé à son oncle si réellement il ne s’était pas trompé de personne. Il a affirmé qu’il était présent lors de la mise en bière et que c’est lui l’a habillé.
Il ne peut donc y avoir de doutes à ce niveau. Ils sont formels. Il s’agit de celui qui est décédé il y a quatre ans. L’intéressé lui-même n’en parle pas. Il dit qu’il travaille à Matsatsa et qu’il serait venu voir ses parents à Franceville. Maintenant, depuis quand a-t-il été recruter ? Nous n’avons aucune information à ce sujet. Depuis quand travaille-t-il à Matsatsa ? Nous ne le savons pas non plus. Est-ce réellement lui ? Les agents de la GR (Garde-Républicaine) qui ont procédé à son inhumation n’était pas là non plus, on n’a aucune informations précise pour savoir s’il s’agit d’un revenant ou pas.
Nous avons donc pensé les entendre sur ce procès-verbal, afin d’ouvrir une enquête d’information. Il ne s’agit pas ou non d’un revenant. C’est juste pour savoir ce qu’il s’est passé ou qu’il se passe. Nous voudrions simplement voir un peu plus clair.
Si on peut s’imprégner que ce soit quelqu’un qui est revenu comme ça , eh bien, c’est pour quel intérêt ? on pouvait comprendre que ce soit quelqu’un qui vienne pour dire qu’il devient charlatan, ou qu’il est venu réclamer un quelconque intérêt ce pas le cas. Il n’y a aucune infraction. Quand il est arrivé, il s’est dirigé chez ses parents et ne ce sont ni lui-même qui ont déclaré qu’il était revenu à la vie, mais plutôt des personnes qui le connaissaient et qui l’ont vu. Cet niveau, il n’y a pas trouble à l’ordre public et donc pas d’infraction pénale.
Le code n’a pas prévu qu’on pourrait poursuivre quelqu’un qui revient à la vie. Il ne peut donc y avoir des poursuites contre la personne. Cette affaire n’intéresse que la famille. Nous voulons comprendre pour essayer d’éclairer l’opinion.
Pour ce qui est de sa tombe, nous ne nous y sommes pas rendus, mais les officiers de police judicaire qui s’y sont rendus ont dit que la tombe demeure intacte. Que les parents et toutes autres personnes ne soient pas inquiétés. La population doit comprendre et le public n’a qu’à attendre. Le moment venu, peut être que nous pourrons faire une déclaration avec des éléments précis au terme de notre enquête. Il s’agit donc d’une situation complexe qu’il faut vérifier avec sérieux »
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