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Retour à la liberté aussi pour les flamants soignés le 17 février à Sigean. (Archive AUDREY MARTY)
Près de quinze jours après leur arrivée au centre de soins du parc ornithologique du Pont de Gau, une quarantaine de flamants roses ont pu reprendre le cours de leur vie sauvage.
"Nous avons reçu 70 oiseaux dont 40 ont pu être sauvé. Ils étaient frigorifiés donc il a fallut qu’il récupère des forces avant d’être remis en liberté", explique Frédéric Lamouroux, directeur du parc.
Un à un, les flamants ont retrouvé les marais et leurs congénères sur le site qui compte pas loin de 2 000 specimens en cette période. Les bonnes conditions climatiques laissent espérer un avenir plus serein pour cette espèce.
Les estimations évoquent le nombre de 1 000 décès parmi les flamants roses de l’Aude jusqu’aux Bouches-du-Rhône en conséquence de cette période de grand froid.
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